Académie Bathory
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 Ich bin Max ( A finir, demande juste un petit passage de la modération . )

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Max Von Falken

Max Von Falken

Messages : 2
Date d'arrivée : 10/08/2010

Ich bin Max ( A finir, demande juste un petit passage de la modération . ) Vide
MessageSujet: Ich bin Max ( A finir, demande juste un petit passage de la modération . )   Ich bin Max ( A finir, demande juste un petit passage de la modération . ) EmptyMer 11 Aoû - 16:11

¤ Nom ¤ : Von Falken
¤ Prénom ¤ : Max
¤ Surnom ¤ :
¤ Age Physique ¤ : 19ans
¤ Age Réel ¤ : 87ans
¤ Classe Vampirique ¤ : ( Sang-pur / Mordu / Infant ) : Mordu
¤ Nationalité / Origines ¤ : Allemande / Française ( Alsacienne )
¤ Orientation sexuelle ¤ : Il n'est jamais tombé amoureux
¤ Métier ¤ :
¤ Classe ¤ : 2ème année


¤ Description Physique ¤ : Mon physique, j'espère faire une description valable de moi malgré que je ne me regarde pas souvent dans une glace . Alors commençons, déjà je sais que j'ai des cheveux roux, dégagés sur le front et m'arrivent jusqu'au cou . Ensuite, des petits yeux ovales dotés d'iris rouge sanguines soulignées par des paupières noirs, très flagrantes sur ma peau blanchâtre voir pâle . Un petit bout de nez qui sait se faire discret par sa petite taille et une fine bouche rougeâtre, des petites oreille même si on ne les remarque pas et un visage à forme......triangulaire ?

Je pense que j'ai assez décrit mon beau minois, concernant mon corps , ma silhouette est athlétique et mon corps bien entretenue grâce aux nombreux exercice physiques que je pratiquais fréquemment et était beaucoup plus basé sur l'endurance, la mobilité et la souplesse que la musculature et la résistance physique qui était plus estimé au soldat, c'était grâce à ses exercices que j'ai pu conserver mes 1m65 et ma voix intact, n'ayant pas la pomme d'Adam....

Pour ma deuxième peau, à vrai dire, je garde ma vieille tenue d'officier que j'aime par sa couleur et est bien compatible à mes mouvements, c'est un assortiment cuire à la carrure militaire avec képis, chemise avec toute mes décorations militaires, bottes et cravache, oui c'était avec, des gants cuire et le tout, noir . Mais ne pouvant plus me déplacer dans cet accoutrement en France, je ne peux me vêtir que de débardeur, de pantalon et de bottes, les autres portes des insignes provocateur et perturbateur .

¤ Description Psychologique ¤ : Alors mon caractère, oh et bien, je peux être méchant mais je ne mords pas, je ne m'arrête qu'à de la violence mentale tout en gardant mon sang-froid, oui j'ai une touche d'humour noir qui peut me rendre ridicule . Étant un homme à garder la tête au frais, même quand j'étais mortel, j'ai eu un don pour gérer les situations délicates mais il m'arrive de céder à la panique et les symptômes se traduisent lorsque je reprends ma langue, ce qui fait donc qu'on me comprend pas, déjà avec mon pauvre français, je pense que j'ai des progrès à faire .

Ah ! Mon français que j'ai eu de ma mère, plutôt un patois, il m'arrive de citer un ou deux mots germanophone tout en parlant français mais rien de bien gênant, le plus important reste en la langue de Molière même si on pourra me reprocher que mon niveau dans cette langue latine est faible et des fautes de vocabulaire et des mots manquants, voir même en grammaire et en orthographe . Petit exemple, sur certains mots il y'a certains pré-fixes exprimant une négations comme mal, mal-honnêtes, capable, in-capable, intéressant, in-intéressant, etc etc et il m'est déjà arrivé de dire : malcapable, inhonnête et vous voyez ? Bien, pour finir le tout, il y'a aussi mon petit caractère agaçant qui se décrit par de nombreuse répétition du même mot à la suite, je pense que vous n'aurez pas de mal à reconnaître et aussi, de mon grand sourire d'où sort un ton ironique quelque fois mais ne dit-t-on que l'ironie sort souvent d'un visage ange ? Oui, je ressemble à un clown depuis que je ne suis plus un humain .

¤ Histoire : Toute ma vie, je n'ai pu choisir mon chemin, c'est ce que je regrette, je suis né en 1921, je naquis d'un père berlinois et d'une mère alsacienne . A cet année, l'Allemagne connu une grand période de chômage après avoir perdu la guerre en 14-18 mais seulement..... C'était le seul territoire où mes parents pouvaient s'exilés car l'Alsace et la Lorraine étant revenu aux français, mon père était en danger ayant fait la guerre contre les Alliés , ma mère n'ayant de la famille que dans le Sud de la France, elle n'avait pas assez de fond pour les rejoindre mais pas celle de mon père . Ils habitaient dans la Ruhr, une région à l'Ouest de l'Allemagne où y était implanté de grandes industries, c'était un endroit idéel pour y avoir du travail . retournez à Berlin aurait été meilleur idée mais seulement, c'était loin et il fallait prendre le train et mon père et sa famille avait fuit l'urbanisation pour une tranquillitée rurale .

Je vis enfin le jour en janvier 1921, le jour de la nouvelle année, toute la famille fut joyeuse et ils disaient que je représentais bon présage et une nouvelle vie qui commençait mais il savait pas, cette vie, vue d'un bon angle se trouva compromise, en mars 1921, trois mois après ma naissance, les troupes belges et françaises pillèrent et occupèrent la Ruhr et fut sous leur domination par la suite . Il fallait encore s'échapper et avec un bébé dans les bras et plus de choix, Berlin . Croyant que dans notre capital nous pourrions trouver une communauté solidaire, nous nous étions trompés, Berlin était disputé des partis politiques, les deux plus célèbre, le communisme et le socialisme . En cet année, certains allemands firent confiances à une personne, une personne qui savait parler à la foule, une personne qui savait séduire la foule, une personne que la foule suivait et qui promit une Allemagne à elle-même, le bon rêve de tout bon patriote .

Sans tarder, mon père a rejoint cet homme, il acquiesçait ces propos, ces idées, tout ce qu'il disait, cette idéologie représentait pour tous, le seul moyen de se débarrasser de tout parasite et de tout "pillard" en accusant aussi bien les juifs . Je me souviens encore des années qui passaient et chaque jour c'était mon père qui me disait " tu vois cet homme ? Il est notre sauveur, celui qui va réunifier l'Allemagne ! " . Par la suite, il devint l'un de ses gardes et mourut lors du putsch qui échoua en 1923 . Ma mère fut seule à présent à m'élever et puis moi, j'étais souvent devant la télévision à voir cet homme, même si il était en cellule, il continuait ses discours .

1933, Berlin est décoré des insignes nazis, durant tout ce temps, ma mère m'a éduqué ayant peu de fond pour payer mon éducation, elle m'a apprit ce qu'elle savait, sa langue, le français cela me donnera un poste d'interprète dans la SS 6ans plus tard, aussi la jeunesse hitlérienne avait été instauré . Que dire ? Il y'avait de la propagande partout, notre Führer était sur des tableaux et des sculptures qui longé les couloir et autre œuvre de l'art nazisme. En cour, nous apprenions pour être de vrais allemands et d'adorer notre patrie et suivre les idéologies du III Reich . On nous apprenait aussi bien à être un soldat, certaine fois nous nous entraînions au tir et à des activités physique régulière pour nous préparez à servir les paramilitaire . Moi et mes capacités m'ont rendu un peu spécial, par mon français, on m'a orienté vers un poste d'officier et ce n'était pas dans un but diplomatique .

1938, j'avais 17ans et pourtant, on commença à me former réellement au combat, un caractère de fer et sans pitié face à toute faiblesse et supplication d'un adversaire, un seul ordre : Annihiler tout les ennemis du Reich et une discipline bien impliqué qu'il fallait que je transmette par la suite aux soldats sous mon commandement. La propagande avait bien fait son rôle , elle m'avait convaincu et exprimé en toute légitimité la raison pour laquelle je dois obéir sans exception . Mais ma formation fut particulière vu que j'allais être le lieutenant d'un commandant et ils avaient déjà préparé l'invasion de la France . A la fin de mes tests que je réussis avec succés, j'eus ma promotion d'officier, mon commandant se s'appelait Klürg, un homme qui ne voulait que combattre, une brute sans pitié mais très obéissante, exactement ce qu'il fallait pour nos dirigeants .


1939, l'invasion de la France débuta, la compagnie où j'étais fut l'une en première ligne et j'étais sur le terrain, derrière mes soldats à assurés qu'aucun lâche était parmi nous . Oui, malgré que les soldats nazis semblaient tellement résistant au combat, leur moral l'était moins et je devais faire des discours pour leur remonter les bretelles . Voici un exemple :

" Soldat du III Reich ! Aujourd'hui nous allons reprendre ce qui nous été volé ! Souvenez-vous, de ces ennemis qui ont chassé ces allemands de leur terre, ces ennemis qui ont été d'un fardeau pour notre l'Allemagne ! Ces ennemis qui croient encore que nous sommes effrayés mais qui va comprendre la vengeance d'un peuple, aujourd'hui unis par notre Führer ! "
[i]
Mon beau discours, j'en ai fait une bonne vingtaine dans ma carrière militaire, cet allure m'allait plutôt bien mais revenons, suite à ces belles paroles, tous poussèrent leur cri de guerre et la bataille commença, les français étaient plus nombreux mais nous, nous avions une autre stratégie militaire qui a bouleversé le monde et qui nous a permit de prendre le dessus, mais elle provoqua par la suite les plus grands crimes contre l'humanité . La France avait déjà vu des avants-goûts de notre nouvel armement en laissant comme avec les autres, Hitler envahir les zones d'Europe Centrale et le soutient qu'il avait envoyé à Franco . Enfin bref ! Parlons de mes actes plutôt . Moi je faisais avancé mes troupes tout en obéissant à mon commandant de tranchée en tranchée, l'artillerie éparpillée et brisée les hommes et le moral . C'était là que j'entrais ne scène, ce qui me permettait de ne pas succomber au bruit assourdissant des explosifs étaient certains soldats qui m'énervaient à faire les poltrons . Je dus exécuter de nombreux lâches puis à la fin de la bataille, j'eus mes mérités, moi et mon commandant d'avoir vaincu l'armée ennemis, je reçus la crois de fer, j'étais maintenant un chevalier du Reich, l'un parmi tant d'autre des plus fidèle et des plus vaillant . Toujours sous les ordres du Commandant Klürg, nous continuâmes dans la manoeuvre de la conquête de la France, malgré que Pétin eut capitulé, il restait encore la France Libre, la France tenu par les résistants et soutenu par le Général De Guaule à Londre au siège de la BBC . Étant un régiment d'infanterie, nous étions les premiers mais pas en route vers un champ de bataille, il fallait établir un QG de campagne le plus proche des opérations et se fut une demeure sombre et éloignée des zones urbaines et des champs qui nous attira et nous n'aurions jamais pu prévoir ce qui allait nous attendre . Voilà ce qu'il s'est passé :

Mai 1941, nous étions en route pour trouver une demeure pour y établir un Quartier Général provisoire, nous recherchions bien sûre une demeure noble, grande et élégante si possible, la plus belle de la région en quelques sorte . D'habitude, les mairies et bâtiments administratifs faisaient l'affaire mais sauf qu'ils ont tous été réquisitionné . Nous étions dans un convoi avec une moto à l'avant, précédé d'une voiture, là où j'étais avec Klürg, deux camions et un véhicules anti-aérien, on était jamais assez prudent . On suivait un chemin dans les campagnes françaises, pour me distraire, je papotais avec mon Commandant . J'avais avec moi un bloc avec toute les nouvelles fraîches du front que je devais lui en avertir .


" Herr Kommander, selon les rapports, il semblerait que les résistants aient fait sauté certains pont empêchant véhicule de passé, ce qui est bien gênant car nous aurions pu contourner et les prendre à revers et....."

" Mais nous devrions nous en contenter Von Falken " Me coupa-t-il " Quel autre nouvelle avons-nous ? "

" Et bien, les communication passent bien à travers ces régions, nous fonctionnons par système de relais donc il faudra du temps pour que nos messages atteignent Paris puis Berlin ." Repris-je

" C'est une bonne nouvelle " Conclut-t-il .

Puis il regarda les vastes horizons de la campagne et scruta les vignes et il vit sur une pancarte " Cave aux vins de la région ", rien de mieux que d'aller se déshydrater ou tout simplement, se faire plaisir en temps qu'amateur de vin . il ordonna au chauffeur de suivre une autre route pour s'y arrêter. une fois arrivé, ils sortirent et se dirigèrent vers les lieux accompagnés de quatre soldats . un paysan nous ayant vu, se précipita de nous accueillir comme il se doit, il nous salua et etc etc .

" Bonjours messieurs, vous, vouloir quelque chose ? Boire ? Manger ? "

" Si vous y insistez, cela ne sera pas malagréable . " Lui répondis-je avec un petit sourire .

" Vous....Vous parlez notre langue ? " Dit-il tout étonné

" Oui, je parle votre langue mais au contraire de vous plaire vous pourrez aussi bien comprendre plus vite que nous sommes pressés . " Lui dis-je en caressant avec un regard malicieux ma cravache .

" Tout....Tout d'suite ! " bégaya-t-il .

Puis il remit son béret sur son crâne chauve qu'il avait retiré pour nous saluer et rentra chez lui, apporter de quoi nous satisfaire . Klürg resta perplexe, il n'aimait pas ne pas comprendre .

" Qu'est-ce qu'il vous a dit ? "

" Rien de méchant, il nous offre l'apéritif " dis-je d'un ton amusé .

" Oh, bien gentil à lui, allons nous asseoir . "

Puis, nous nous dirigeâmes vers une table en bois, Klürg avait vu où était la réserve de vin et ordonna à ses hommes de prendre ce qu'ils peuvent pour eux et de revenir au convoi, ils les rejoindraient bientôt . Le français, lui revint les mains chargés avec du saucisson, du pain, deux bouteilles et deux verre . Il déposa tout ça sur la table soigneusement sans nous toucher, de peur de salir nos vêtements .

" Vo...Voilà, oh oups, j'ai oublié le couteau, excusez-moi, je vous l'apporte . "

" Pas besoin " Répliqua mon supérieur

De suite, il sortit son couteau, la lame toute sanglante, il l'avait utilisé pour faire parler un résistant . Voyant cela, le paysan ravala sa salive et ses yeux furent tout globuleux puis il rentra chez lui tout suant espérant qu'on parte bientôt .

" C'est avec ce couteau que vous avez torturé ce résistant ? " Lui demandai-je

" Oui et c'est avec ce pistolet que vous l'avez achevé pour faire parler ses camarades pour ensuite faire parler les "lâches" qui ont subit le même sort par la suite . " Dit-il en fixant mon semi-automatique

" Ah ah ah ! " Ria-je à haute-voixà cette remarque " C'était un interrogatoire et puis de toute façon, les prisonniers de guerre réquisitionne un entretien et nous n'avons pas de vivre à gaspiller . "

" Juste ......" Remarqua-t-il

Puis il déboucha la bouteille et commença à verser, ce vin là avait l'air d'être bon, il sentait jusqu'à mes narines le raisin bien fermenté et était bien rouge dans une belle bouteille de verre transparente .

" Celui-ci a dû nous donner sa meilleur récolte pour être aussi bien conserver, je pense que nous sommes gâtés " Dit-il en commençant à lever son verre " Prost ! " Cela veut dire, à votre santé .

" Prost " lui répondis-je .

Moi je le bus à la suite en le savourant sur mon palé et aux intervalles de temps qu'il y'avait entre mes gorgées, mon supérieur lui dégusta déjà sa beauté en mettant son verre au soleil pour voir sa sublime couleur rouge au rayon du soleil, puis en le mettant délicatement sous son nez et en inspira longuement les yeux fermés, il examina mon verre que j'avais déjà vide et soupira .

" Vous ne savez pas savourez les choses Von Falken ? " Me demanda-t-il

" Si, si le temps nous le permet, je ne pense pas que l'état-major serait fière de savoir que nous passons notre temps à gouter un vin de campagne . " Lui avouai-je en commençant à me couper une part de saucisson

" C'est vrai...Et avec du saucisson de campagne, bon, unterwegs " Dis-t-il en buvant son verre puis se leva, remonta son pantalon et rejoignit la voiture . " Oh heu, prenez ces bouteille et ce saucisson si vous le voulez . "

Je pris les bouteille et mis le saucisson dans sa serviette et je le suivis . L'un des soldats nous ouvrit la porte et nous repartîmes . Le paysan, étant restait chez lui en transpirant essuya sa sueur et souffla de réconfort qu'on soit enfin partit . Nous étions déjà assez éloignés, de loin, on aperçu une maison, une chance car le temps commença à se couvrir, sur la montagne, exactement ce que nous recherchons en plus de la position qu'elle avait, parfait pour un poste d'observations . A plein diesel, nous fonçâmes là-bas, puis une fois arrivé, nous quittèrent précipitamment nos véhicules . Cette maison était splendide, bonne vue, un beau jardin et elle était grande et aucune poussière visible sur les murs, à nos yeux, une demeure de seigneur plongé dans la luxure . Certains soldats se grattèrent les mains pensant déjà au pillage qu'ils allaient faire et du personnel féminin qui pouvait être présent . Tous avides d'idée de barbarie, moi j'étais soldat et j'obéissais c'était tout mais ce qui allait se passer a bien signé notre stupidité, nous allions nous confronter à un dangereux prédateur que nous avons cru vaincre par nos balles et dévouer par notre motivation à neutraliser tout ennemis se dressant devant nous .

On frappa à la porte, de suite vint nous ouvrir une dame en tenu de serveuse, cheveux noirs, la peau pale et de beaux yeux bleus, tous étaient sous le charme, celle ci nous regarda tous un par un des yeux, étonné de voir autant de monde mais elle esquissa un sourire .


" Bonjour jeune passant, désirez-vous quelques chose ? " Nous demanda-t-elle d'une voix douce

Je m'approcha, doucement d'elle, contemplant aussi bien sa beauté de prés puis je lui dis nous intentions avec beaucoup de flatterie . Je me dressa droit devant elle, l'air inexpressif et la regardant de haut .


" Bonjour charmante dame, je suis désolé de vous dire que nous réquisitionnons votre manoir pour en faire notre et toute opposition serait fortement puni . " Lui répondis-je

De suite, elle ricana à mes propos, avec son air de folle, elle ria de plus en plus fort et encore et encore, elle se moquait bien de nous . Le commandant Klürg lui céda déjà à la provocation, il s'avança et la saisit cou et lui cria dessus de sa langue maternelle s'en moquant bien si elle comprenait ou pas .

" Qu'est-ce qui vous fait autant rire ? Vous savez qui nous sommes ? Nous sommes ceux qui ont mit en déroute notre armée et qui avons mit votre pays à nos pieds alors cessez cette résistance, elle est vaine ! " disait-il de sa plus forte voix pour la terroriser .

Celle-ci, bien qu'elle ne comprenait pas, savez reconnaître au ton que c'était des menaces et cela la fit rigoler encore plus fort puis reprit .

" Vous êtes juste des fous ! Des inconscients ! Des humaine !!! "

Moi comprenant tout, je me disais qu'elle était une malade mental, se moquer de nous ? Nous étions une terreur, on savait qu'on tremblait à nos pieds et là, une dame se moque de nous par des rires hystériques même face à la colère d'un commandant fasciste . Ne rien faire aurez été d'une telle humiliation que de suite, Klürg la gifla et elle s'effondra par terre, au long sa chute, j'avais vu son regard, plus fou que jamais, ces yeux indiquait une furie meurtrière, je la prenais de plus en plus pour une folle . Klûrg lui se retourna et il me dicta mes ordres .

" Von Falken ! Occupez-vous d'elle ! Vous autre, déballer le matériel, nous n'avons plus de temps à perdre et....... " Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que je lui coupa la parole

" Herr Kommander ! Où est passé la folle ? " lui questionna-t-il

" Mais voyons elle est ici, juste là . " Dit-il d'un ton tout étonné .

Je secoua la tête de droite à gauche pour lui dire que non, puis celui se retourna et inspecta l'entrée mais ne trouva personne . Klürg commença à se mettre en rage contre cette domestique faisait joujou avec nous et avec nos nerfs . Ceux de mon commandant n'était pas en acier et refuser à l'idée qu'une femme se paye sa tête, il s'avança dans le hall d'entrée, l'inspecta l'air inquiet et revint vers moi et me dicta de nouveaux ordres .

" Von Falken, prenait la moitié des hommes et moi je prends le reste, fouillez cette maison, j'en suis sûre qu'elle renferme quelque chose . " m'ordonna-t-il en dégainant son pistolet

" Jawohl ! " répondis-je ne me mettant au garde à vous .

je me retourna et marcha en direction des soldats, je me dirigea vers le premier camion pour leur dire de me suivre et dans l'autre de suivre le commandant puis, chacun de notre côté, on alla inspecter les salles, moi je partis vers l'aile droite et lui l'aile gauche . En inspectant les pièces on estima que cette habitation devait appartenir à des personnes puissantes mais les propriétaires devaient être absent pensait-t-on . Cela faisait quelques minutes qu'on inspectait cette maison, on entra dans une salle qui semblait être une salle à manger, couvert en argent, grande tables, tapis rouge mais assombris par les rideaux qui étaient fermés . Un SS alla les tirer, la salle était beaucoup mieux éclairé mais rien ici . On se dirigea vers l'autre salle puis nous vîmes une personne, assise sur un fauteuil, le dos penché . Mais le plus surprenant est qu'elle était vêtu d'un imperméable digne de ceux qu'avaient les soldats allemands et un casque . Je soupira, je croyais que c'était les nôtres qui nous avaient tendu une farce . Je laissa la tension baissé et mon rythme cardiaque reprendre sa normlité mais quand je déposa ma main sur son épaule, le corps tomba par terre raide mort, tous sursautèrent et épaulèrent leur mitraillette et furent sur le qui-vive, je sentis la tension monter d'un cran, sur le coup ils continuèrent à inspecter la salle dans les moindre recoins . Je me demandais ce qui se tramait par ici, tout n'était pas logique puis je rejeta un coup d'oeil avec un très mauvais pressentiment, la gorge qui me grattée et qui me fit avaler ma salive puis je vis que cet homme, maintenant un cadavre était en faite un soldat..... De ma section que j'avais vu le premier dans le camion . La tension s'aggrava, je ne comprenait plus rien, comment a-t-il pu mourir sans que je m'en aperçoive et si silencieusement, je recula, recula de ce cadavre qui me fit des cauchemars sur place, il me faisait trembler de tout mes membre . M'emportant dans la panique, je trébucha sur une table basse et tomba au sol en me rattrapant lourdement mais paralyser en étant à presque qu'à la même hauteur que ce soldat mort . Deux soldats vinrent m'aider à me relever .

" Leutnant ! Vous allez bien ? " Me demanda-t-il inquiet

" Nein........" Dis-je d'un ton étouffé et en faisant à peine pression sur ma gorge " Quelque chose ne tourne pas rond ici.... " Poursuivis-je tout aussi tremblant

Je n'en avais pas encore la sueur au front mais de suite, mais je vis un détail marquant, ce soldat là n'avait ni impact de balle, ni d'éraflure d'un quelconque objet tranchant . Instantanément, je voulais prévenir mon commandant qu'il fallait partir, je courus à toute vitesse vers l'aile gauche du bâtiment en criant " Herr Kommander ! Herr Kommander ! " puis lui entendant mes cris d'affolement qui raisonnaient le long des couloirs vint à ma rencontre d'un pas pressé avec sa section .

" Von Falken ?! Mais que vous arrive-t-il ? " Me demanda-t-il tout étonné d'être aussi effrayé

" He.....Herr Kommander ! Il nous faut partir et vite ! Je le sens nous sommes dans un piège ! Un de nos soldats a été retrouvé mort je ne sais pas comment ! Il faut partir d'ici, nous ne sommes pas en sécurité ! "

" Mais que vous arrive-t-il Von Falken ? Je vous avais vu plus téméraire que cela, auriez-vous eu un besoin urgent aussi ? "

Certains ricanèrent à cette remarque mais moi, je ne trouvai pas cela drôle, j'avais froid dans le dos puis je me dirigea vers la grande porte pour sortir qui était.....fermée ? Je continua de tourner la poignée de toute mes forces mais se fut en vain . Klürg me regarda d'un drôle d'air, il se demandait ce que je faisais .

" Von falken, puis-je savoir ce que vous faites ? "

" J'essaye d'ouvrir cette porte....VERDAMMT ! Vous pourriez m'aider non ?! " Leur hurlèrent

Mais en continuant d'essayer d'ouvrir la porte, j'entendis une détonation d'un pistolet......Il y'eut plusieurs secondes de silence puis je sentis, derrière mon dos couler un liquide chaud puis une douleur intérieure me chauffant la poitrine droite, puis je m'effondra à nouveau au sol, tombant sur mes genoux puis me retournèrent légèrement vers Klürg, il m'avait tiré dessus... Pourquoi ? Et bien n'oubliez pas qu'un officier nazi se doit de montrer l'exemple .

" Von Falken......J'ignorai que vous pourriez un jour en arriver à une telle lâcheté, vous qui avait pourtant combattu farouchement face à nos ennemis "

" Herr.......Kommander......."

Je perdais de plus en plus de sang, KlÛrg s'approcha lentement de moi ne quittant pas des yeux mon regard puis il s'accroupit et vint caresser mes doux cheveux roux et reprit .

" Même si vous n'êtes pas de la race assyrienne, vous restez très beau Von Falken, dommage que nous ne soyons pas resté amis plus longtemps . " Puis il se releva " Ayez au moins, une mort digne de votre beauté et ce pourquoi vous vous battiez, je vous ferai une place dans l'histoire . "

Que dire face à ça ? J'avais combattu pour le III Reich pendant 3ans pour finir comme un rat ? Non, je ne pouvais pas l'accepter, on m'avait clairement formé pour faire de moi un homme d'honneur et de courage et non un lâche et un misérable . De toute mes forces restantes, j'atteignis la poche de mon revolver, ma main toute tremblante, fixant ce qu'il y'avait en face de mon visage, des soldats SS me regardant faire . Je le dégaina et le pointa sur moi lentement, me préparant à ce que j'allais faire . Klürg lui se retourna, me connaissant bien, il savait ce que j'allais faire une fois le mouvement lancé, rien ne m'arrête et il ne voulait pas voir ce spectacle sous ses yeux . Mais face à lui, il vit cette mystérieusement femme qui s'était volatilisé derrière deux soldats SS . Les deux tremblèrent croyant que son regard haineux était envers eux et craignant l'exécution sur place jusqu'à ce que celui-ci cria fou de rage .

" LA !!!! Elle est là ! ATTRAPEZ-LA !!! " hurla Kürg en la pointant du doigt

Surprit, ils se retournèrent précipitamment, ils n'avaient même pas senti sa présence mais de suite, cette inconnue se rua sur l'un d'eux, sa main droite lui fit baisser son épaule et celle de gauche fit basculer son visage pour dégager son cou et d'un coup, elle enfonça ses crocs dans sa chair et semblait lui aspirer son sang au vu des mouvement de sa gorge . Il hurla de douleur, cria jusqu'à son étouffement et son corps se crispa puis se figea laissant tomber son arme qu'il avait à la main . Tous regardèrent la scène reculant de lui et en pointèrent leur MP-40 sur le monstre, ils étaient tous paralysés par la peur et l'étonnement d'un tel acte inhumain . De suite, Klürg empoigna son révolver, tandis le bras et aligna les deux crans de visée .

" FIRE ! " ordonna-t-il

Tous reçurent l'ordre dans leur tête et tout tirèrent en direction d'elle, ils vidèrent leur chargeur qui finalisèrent sur son bouclier humain . Après cette fusillade, il n'y eut qu'un écran de fumé puis le un corps tomba au sol, la prédatrice avait encore disparu . Tous surveillèrent leur flan attentivement et toujours dans la peur qu'elle leur bondisse dessus . Moi, j'étais sous le choque, cette scène m'avait figeait sur place, il ne restait que mes yeux, qui me permettait de voir ces atrocités....et la revoir resurgirent devant moi .

La voir faisait augmenter mon stresse qui accéléré mon effusion de sang, je voulais avertir Klürg qu'elle était juste derrière lui mais elle semblait tellement bien cacher sa présence . Alors que j'allai prendre une grande inspiration, celle-ci vint m'empêcher de crier et me murmura à l'oreille d'une voix tellement envoutante qu'elle me laissait dire qu'elle me préservait pour le meilleur .


" Patientez encore un peu, cela ne prendra qu'un moment, je reviens tout de suite m'occuper de vous personnellement. "

A ces mots, elle se releva puis elle sauta sur Klürg, c'était effrayant de la manière dont elle venait de mettre à terre une personne avec des gros trois fois plus gros qu'elle, d'une simple simplicité par ses maigres bras . Je le vis se débattre et tenter de se retourner mais celle-ci le maîtriser sans forcer . Puis elle leva la tête inspira de grande bouchée d'air, rugit un grand bruit assourdissant faisant trembler les tympans, releva peu à peu sa lèvre supérieur laissant voir à autrui ses canine fine mais acéré et d'un coup, elle précipita ses croc sur le cou de sa proie qui hurla d'agonie . Tous furent de nouveau paralysé, d'autre trébuchèrent en reculant tantis que d'autre s'enfuirent dans les couloirs et les autres qui ne tardèrent pas à faire la même chose . Lorsqu'elle en eut fini avec Klürg et que celui ne devienne plus qu'un cadavre, elle partit à la poursuite des fuyards . De là où j'étais, j'entendis des tirs raisonnant dans les couloirs, des cris de la folie meurtrière ou d'envie de la prédatrice et des cris que certains poussèrent avant de mourir . J'entendis, derrière la porte, les bruits du moteur de la voiture, ceux qui étaient encore dehors filaient à toute jambe . Puis elle revint dans la salle, la douche ensanglanté et ses habits troués de balles . Elle s'essuya la lèvre et lentement, tourna la tête vers moi affichant un sourire mesquin avec ses yeux qui grossissaient à ses désirs de soif . Puis je ne me souvins de rien, à cet instant, je perdis connaissance, j'avais des vertiges et ma vue devenait floue et ce fut un grand noir qui fut suivit d'un grand noir complet .

Je ne sais pas combien de temps j'ai dormi, je me réveilla sentant un jus couler sur mes lèvres, entra dans ma bouche et passa dans ma gorge. En un instant, j'ouvris les yeux, il faisait sombre dans la pièce où j'étais mais cela ne m'empêcha pas de voir toute forme d'objet ou d'être vivant . Je vis que j'avais un verre sur la bouche tenu d'un bras qui le penchait . Je le suivis tout en continuant de boire lentement ce breuvage qui avait le goût du fer rouillé que j'aimais bien léché sur une petit barre quand j'étais petit, ca avait un drôle de gout mais c'était tellement bizarre et frais . Tout en longeant le bras, je leva les yeux et je vis, là, la machine à tuer . Une frayeur me parcouru le corps repensant subitement à son oeuvre sanglante, mon corps fut de nouveau paralysé et l'avala de travers le liquide toujours en train de couler . M'ayant vu réveille, elle arrêta ce qu'elle faisait puis un air...heureuse ? Comment expliquer cela ? Moi qui était tout paniqué et qui m'était fait grand devant elle pouvait être si délicate avec moi ? Non, impossible .

" vous êtes enfin réveillé, vous avez bien prit ton temps " déclara-t-elle en me caressant légèrement la joue et sentant mes tremblement " N'ayez plus peur, je ne vais rien vous faire maintenant que je vous ai donné ma bénédiction . "

" W.....Wa.....Was ? Bénédiction ? " Lui demandai-je tout tremblant de peur

" Oh ou promotion, comme vous dise si bien vos supérieurs hiérarchiques . "Me répondit-t-elle toujours aussi calme

Elle posa le verre sur un plateau qu'elle plaça sur un petit meuble de marbre et vint s'installer prés de moi sur le lit sur lequel j'étais allongé et elle me demanda .

" Alors ?vous vous sentez mieux? "

" Pou.....Pourquoi vous....vous demander mon état ? Et....Pourquoi m'avoir soigné ? " J'en tremblai à en perdre la langue

" Parce que je vous ai offert un cadeau en échange de ce que je vous ai prit . "

" Prit ? Prit quoi ? "

" Votre sang......votre sang exquis d'homme vierge en échange de votre survie et l'éternité . "

A ce petit dialogue, j'en trembla encore plus en m'informant dans quelle situation j'étais, j'étais confus et ce qu'elle disait, était-ce vrai ou faux ? Je ne savais rien, absolument rien... Puis elle quitta la pièce et me dit avant de sortir que la salle de bain était juste derrière la porte sur le mur où était plaqué mon lit . Avant de me lever, je tenta de retrouver mes esprits, que tout soit en ordre mais rien y faire, un petit point noir m'empêchait de voir clair, sentant mon stresse montait, je devina que c'était peine perdue . Je fis quelques soupir de désolation avant de me lever du lit . Je me leva sans aucun vertige et sans déséquilibre, un détail dont je n'avais pas fait attention puis je me dirigea lentement vers la salle de bain me disant que l'eau froide me fera du bien . Je tourna la poignée, l'ouvrit et me dirigea vers le lavabo, je fis couler l'eau froide sur mes mains et je m'en éparpilla sur le visage . Bizarrement l'eau me gratté un peu, je pris une serviette pour m'essuyer et je retourna dans mon lit et me reposa jusqu'à ce que la dame revienne pour me dire que le dîner était servit et me demanda de me suivre si je le voulais . Je ne fis aucune opposition, je pensais plus que je pourrai avoir des explications sur ma situation actuelle et ce qu'était devenu les autres . On arriva dans la salle à manger, celle dont je me souviens avoir vérifier avec mes hommes . Chaque salle que je revoyait me faisait repenser à ce qu'il s'est passé, je revoyais même encore mes soldats fouiller dans ma tête . Je m'assis prudemment à l'une des deux place, elles étaient face à face avec couvert, verre et repas déjà préparé . Pour la décoration, ce n'était pas extraordinaire, une fine nappe de couleur rouge et deux bougie en cire blanches . Elle vint s'asseoir, elle me proposa de boire un peu avant de manger, ce fut d'aucun refus, je tandis mon verre puis j'examina le liquide opaque qu'il y'avait dans mon verre . Celui-ci n'avait pas un goût à ma connaissance mais une odeur qui me sembla familière mais ma tête était encore en charpie, mes souvenir était encore brouillé . Alors que pourtant, c'était évident mais la reconnaissance n'était pas au rendez-vous .

" Excusez-moi madame .... ? " Lui demandai-je son prénom

" Appelez-moi juste mademoiselle s'il vous plait . " Répondit-elle

" D'accord, excusez-moi madame mais c'est quel vin ? "

Pourquoi je disais que c'était un vin ? C'était en voyant la bouteille, elle était en verre et garder l'étiquette d'où elle provenait .

" Goutez et vous verrez . "

Je le fis, cela avez le même goût que ce qu'elle m'avait donné quand j'étais dans le lit mais je n'arrivais pas à en percevoir l'aliment . J'en restais perplexe, puis elle me servit le plat principal, un steak saignant, un peu trop peut-être . Elle me fit signe de le déguster tant, je pris ma fourchette, la pointa dans ma viande et coupa un bout puis je l'avala . Ce fut une surprise, d'habitude lorsque je mange de la viande, je la trouve toujours aussi fade et qu'une pointe de sel ou de poivre y rajoute toujours du goût mais ce n'était ni du poivre, ni du sel ni autre épice dessus . Je n'avais reconnu qu'une seule chose,que j'avais déjà sentit sur ma langue mais que j'avais bu jusqu'à présent . Je baissa les yeux, vis couler à partir du morceau de chair le même liquide, dû au moins semblable . J'eus l'ombre d'un doute, un doute qui devint de suite une crainte que je n voulais même pas réel mais je devais m'en assurer . Je trempa mon doigt tremblant dedans, puis délicatement, je l'approcha de ma langue et une fois les deux atteint, ce fut le déclic . Je me levis et m'éloigna de la table, me plaqua contre le mur et me laissa glisser au sol, j'avais devinez ce qu'elle m'avait fait boire dans le lit, puis à ce moment, du sang .

Comment pouvait-on faire ça ? Elle n'était pas humaine, oui mais alors elle était quoi ? Je me remit spontanément debout et prit le maximum d'écart avec ce repas sanguinaire et scruta la place en face de moi qui était devenu inoccupée, elle n'était plus là . Allait-t-elle au final en finir avec moi ? C'était à ça que je m'attendais le plus d'elle . Lorsque mon regard descendit lentement le long de la table, mon cerveau se bloqua sur mon couteau , les seules choses qui passés dans ma tête c'était que cette lame était tranchante comme un canif . Je l'empoigna et balaya la pièce du regard reculant vers le mur vibrant de tout mes membres . Dans la pièce, un silence mort régnait, je n'entendais que ma respiration qui s'amplifier tant que le calme régnait et mon coeur battre la chamade . Après quelques temps minutieux, je m'apaisa un peu mais ne baissant pas ma garde si il s'apprêter à se ruer sur moi . Soudainement, elle réapparut et très vite me mit à sa guise, elle m'avait bloqué ma lame sur ma nuque pour me priver de tout geste défensif et de son autre main, elle vint me frôler le visage tout en sifflant et effleurant de ses lèvres l'une de mes oreille .

" Reprenez vos esprits, " Me chuchota la suceuse de sang d'une voix attrayante " évitez de faire bouillir votre sang dans l'affolement, cela pourrait vous assoiffez . "





















¤ Pseudo ¤ : Max ?
¤ Age ¤ : 16
¤ Comment ça va ? ¤ : Bien et vous x] ? Bon, ces temps-ci je serai présent mais je risque de faire plein de faute, étant sur un vieil ordinateur énervant à vitesse papy, je dois des fois refaire une page complète et donc je bâcle....
¤ Mais au fait, comment t'es tu retrouvé parmi nous ? ¤ : Top site !
¤ Dis moi, tu n'aurais pas un commentaire à faire par hasard ? ¤ : Si, j'ai prit un allemand car j'oublie souvent des mots et on me dit que cela donne un français d'un étranger lol mais je ne sais pas parler allemand, juste deux trois mots . Ah et encore, les images n'ont pas pu se coller car windows ( 2000 ) ne les a pas reconnu . Aussi, j'utilise la première personne que pour les présentation . Je crois que c'est tout .
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Ich bin Max ( A finir, demande juste un petit passage de la modération . )

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