¤ Nom ¤ : Kagamiko
¤ Prénom ¤ : Yume
¤ Surnom ¤ : Aucun
¤ Age ¤ : 17 ans
¤ Nationalité / Origines ¤ : Japonais/Européen
¤ Orientation sexuelle ¤ : pas de préférence et pas attiré par cela
¤ Métier ¤ : Etudiant
¤ Classe ¤ : 1er année


¤ Description Physique ¤ :
Le soleil levant sur la mer azuré ~

La tête posée sur le miroir, je contemple ce reflet terne qui se dresse face à moi. A quoi bon se focaliser sur les détails du corps qu’on aperçoit rarement dans notre si courte existence ? Peut être par pur narcissisme ou bien en quête de réponse. Beaucoup de proverbe se réfèrent au corps humain, plus particulièrement les yeux qui seraient une porte grande ouverte donnant sur l’âme. Ces yeux aux couleurs opposées, l’une chaude et apaisant comme l’aurore du matin et la seconde froid et sombre comme le crépuscule. Cette étrange particularité que d’avoir les yeux vairons, un iris teinté doré tandis que l’autre ne reflète que la couleur azure du ciel ou de la mer. Ces yeux qui trônent fièrement sur ce visage angélique, mais Ô combien inexpressifs. Un nez fin et prononcé, suivi par des lèvres fines et roses. Le tout encadré par ces cheveux blonds, coupés court et reflétant la lumière du soleil avec un éclat prononcé, luisant comme l’astre solaire. Dans la fine fleur de l’âge, je mesure environ 1m77 pour un poids avoisinant les 64 kilos. Je suis fier d’avoir hérité de certains traits caractéristiques de mes ancêtres japonais, même si la moitié d’un sang impur se balade dans mes veines. Je ne suis pas quelqu’un qui suit la mode, mon style vestimentaire dépend de mon humeur du jour et de mes caprices, même si je reste dans le style léger et souple. Le seul élément qui restera toujours visible est le pendentif qui pend autour de mon cou, ce cher pendentif en souvenir à une étoile aujourd’hui disparue …

¤ Description Psychologique ¤ :
Pensez-vous que le destin existe ? Que tout est écrit à l’avance et que rien ne vient par inadvertance ? Pour ma part, c’est un fait indéniable, la fatalité existe ici bas et c’est pourquoi la vie ressemble plus à un Enfer pour expier ses crimes qu’au Jardin de l’Eden. Je fais parti de ceux qui porte un nom portrait, toujours à rêver, je suis quelqu’un qui vit plus dans son monde que dans la réalité au combien insupportable. Et pourtant ce n’est pas pour autant que je me connais, il est difficile de rester objectif sur soi alors que tout est gris. Tel un miroir brisé, je ne reflète plus l’envie de vivre, j’ai enfermé depuis longtemps les sentiments au fond d’une boite et l’ai ensuite scellée à jamais. Depuis ce jour ou mon étoile à disparu de la voie lactée, ou ma seule lumière me fut retirée, me plongeant dans le manteau froid de la nuit. Plus rien n’a de couleur à mes yeux, je ne fais que me contenter de mon rôle de spectateur sans perturber la réalité. C’est donc pour cela que je n’ai aucun tact, le cynisme est une arme que j’ai appris rapidement à user pour me défendre et seul sans doute la solitude est mon ami. Mais pour les fous qui adorent jouer au bon samaritain et qui pense que je méprise le monde, ils apprendront bien vite que je ne suis pas toujours cynique. D’une extrême politesse, mes seules ‘passions’ sont la culture japonaise et tout ce qui se rapproche de l’art, que ce soit de la poésie à la musique, du dessin à la peinture. Il n’y a sans doute rien à en dire plus, je n’essaye pas de me joindre aux autres et je n’essaye pas de garder des relations, la vie est aisément plus simple comme cela.

¤ Histoire ¤ :

- Tu es l’enfant que j’ai toujours désiré avoir Yume.

Ces mots que tout enfant voudrait entendre, ne serait-ce qu’une fois dans leur vie, résonnaient bien froidement dans le creux de mon oreille. Ces mots dénués de sens et de vie, de sentiment et de chaleur maternelle. Je vous expliquerai plus tard pourquoi mais n’imaginez pas que j’ai eu une enfance malheureuse, non loin de la, n’est banalité que ceux qui en font critère et n’est intéressant que ceux qui savent écouter. Je n’ai pas connu mon père, du moins je l’ai seulement vu en photo, et je crois que c’est mieux ainsi. Ma mère est d’origine japonaise, elle faisait ses études en France lorsqu’elle rencontra ‘un prince charmant’. C’était le grand amour, du moins selon les récits qu’elle m’en faisait mais je ne m’attarderais guère sur ce sujet qui semblait douloureux pour elle. ‘Mon père’ faisait parti de ceux qu’on pouvait classer de raffiné et élégant. Il savait choisir les mots pour adoucir le cœur et illusionner l’esprit, pour ensuite distiller son venin dans le corps de sa pauvre victime. C’est ainsi qu’il courtisait ses proies et malheureusement sa réputation vint bien tard à l’oreille de ma mère. Mais nonobstant ce fait, elle semblait quand même avoir été heureuse de cette relation à sens unique, comme quoi les rouages de l’âme humaine seront à jamais un mystère et l’ivresse de l’amour un poison mortel mais enivrant. C’est donc lorsque mon ‘cher’ père apprit que ma mère était enceinte qu’il se volatilisa sans laisser de trace, telle une ombre parmi tant d’autre. Cette brusque rupture et retour à la réalité fut un choc pour ma mère qui ne perdit pas espoir. Retournant au Japon, à Okinawa, elle s’installa chez sa mère le temps de la grossesse puis m’éleva aux alentours de cette région. Je n’ai donc jamais connu mon père, et encore moins la présence maternelle. Car en effet, ma mère devait subvenir aux besoins du quotidien et j’étais donc gardé par une amie de ma mère, cette rencontre qui bouleversa ma vie. Si je n’ai jamais connu l’amour parental, ce manque disparut bien vite dans ma tête d’enfant, car j’avais reçu toute la tendresse et l’amour que pouvait me porter mon étoile. J’ai donc passé une enfance normale, les cours n’étaient pas ennuyants et j’avais des camarades de classe. Et chaque soir après les cours, j’étais avec elle, des moments de paix et de joie sans équivoque, rien que le fait d’être en sa présence était un soulagement en soi. C’est elle qui m’a apprit l’art, la beauté de la poésie et tant d’autre forme artistique pour se libérer l’esprit. Elle voulait étudier en France et compter un jour s’y rendre, pour poursuivre des études et faire carrière là-bas. C’est donc avec elle que j’appris les bases de cette langue étrangère, le français. Mais un accident survint le jour de mes 8 ans, ou ma vie bascula dans un cauchemar éternel. C’est depuis ce jour que je fais que vivre sans réel conviction, passant mon temps à rêver et à réfléchir.
Réfléchir sur beaucoup de chose, comme la signification de mon nom, et ce que cela pouvait représenter pour ma mère. C’est lorsqu’on comprend qu’on est plus un fardeau qu’autre chose dans la vie des gens qu’on désire disparaitre, c’est pourquoi j’ai quitté le Japon, pour venir en France grâce à un programme d’échange et suivre la scolarité qu’elle aurait toujours voulu suivre. Laissant tout derrière moi, je ne puis qu’attendre que la fatalité ne vienne, ne doutant point un instant de ce que j’allais vivre dans cette école.

¤ Pseudo ¤ : Frérot
¤ Age ¤ : pour le savoir, calculé le nombre d’année qui se sont écoulé depuis ma naissance …
¤ Comment ça va ? ¤ : Fort bien, bientôt les grandes vacances /
¤ Mais au fait, comment t'es tu retrouvé parmi nous ? ¤ : C’est onee-san qui est venu, m’a fouetté, puis donné des coups d’ombrelle pour finir par me tirer par la peau du *** afin que je sois martyrisé, torturé, lynché, vendu, … par tous
¤ Dis moi, tu n'aurais pas un commentaire à faire par hasard ? ¤ : Si, VIVE MOI !!!! *sors*

Un big CALIN à sa grande sœur adorée pour l’aide de la fiche, que la chicha attitude soit toujours avec elle
PS : je tiens à m’excuser pour ce retard de poste fiche, une vie IRL trop remplie ses derniers temps ><

Mdr... C'est toujours de ma faute avec toi xD

Je sais pas si j'ai envie de te valider... Non j'ai pas du tout envie, mais bon, je suis trop généreuse, je vais le faire tout de même !

Pas de bêtises, j'te surveille